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D'un côté la nouvelle réglementation thermique RT 2012 qui a tendance à « confiner » les bâtiments et les rendre de plus en plus étanches et isolés. De l'autre, le plan Santé Environnement qui préserve santé et qualité d'air.
La qualité d’air intérieure des bâtiments impacte notre santé
Le saviez-vous ?
- Nous buvons 1 litre de liquide par jour,
- Nous mangeons 2 kg de nourriture,
- Nous respirons 25 kg d'air, un air invisible !
- 3% et 8% de la population adulte en Europe souffre d'allergie et d'asthme
- 57000 morts dus à un cancer des poumons en Europe en 2006, conséquences indirects d'une exposition prolongée aux particules fines
- En Europe, 4 à 10% de la population adulte est touchée par des BPCO (Broncho-Pneumopathie Chronique Obstructive).
Il est scientifiquement prouvé qu'une mauvaise qualité d'air contribue à différentes maladies dont les conséquences sanitaires sont loin d'être négligeables. Au-delà de l'impact sur la santé publique, c'est la non-productivité des personnes qui est désormais imputable à la mauvaise qualité de l'air.
On sait depuis un certain temps que l'exposition à la pollution a un impact sur les êtres humains. Les symptômes courants sont les maux de tête, les yeux qui pleurent, une diminution des performances au travail, etc., connus traditionnellement sous le nom de Syndrome des Bâtiments Malades (ou SBS : Sick Building Syndrome) ou sous des dénominations similaires.
A ce jour, personne ne conteste le fait que la pollution de l’air que nous respirons est directement liée à l’augmentation des symptômes respiratoires, au recours toujours plus grand à la médecine d’urgence, à l’asthme, aux maladies respiratoires chroniques conduisant à des soins intensifs, voire à la diminution de la croissance des poumons chez les enfants.
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