Nul doute que l’action
de l’Homme sur le climat
entraîne des dérèglements
quasiment irréversibles.
Nous vivons sur
une planète dont
les espaces disponibles,
les ressources
énergétiques
et les matières premières
sont limitées.
La dimension finie
de la biosphère
nous contraint ainsi
à nous intéresser
aux effets d’une croissance
mondiale corrélée
à une consommation
d’énergie fossile par définition épuisable.
Les nouvelles générations
doivent impérativement
inventer un système
différent qui modifie
la trajectoire
de l'engrenage actuel
dont nous prenons
seulement conscience,
avant qu'il ne remette
en cause les conditions
de vie sur terre.
Certains spécialistes estiment,
qu’avec une croissance de 2 %
par an de la consommation
d’énergie, la totalité des réserves prouvées n’est que d’environ
un demi siècle. Quelles que
soient les hypothèses retenues,
la courbe déclinante des ressources
en énergie fossile,
et celle ascendante de la
consommation se croiseront
inévitablement dans quelques
générations. Les inégalités des
développements sur la planète
sont considérables et il est
légitime que les pays du tiers monde
aspirent à vivre mieux.
L’urgence à présent est de
produire, construire, se chauffer
autrement et réduire de
façon significative nos rejets
de gaz à effet de serre qui,
en empêchant le rayonnement
émis par la terre de s’échapper
librement vers l’espace, provoquent
un réchauffement inévitable
de la planète, un relèvement
du niveau de la mer et un dérèglement
du régime des pluies.
sources et documents PROMODUL
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